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Bovins de boucherie Le marché des laitières à l’équilibre

Les besoins pour la rentrée sont comblés, mais la modestie de l’offre compte tenu des besoins en production laitière et du début des ensilages de maïs devrait atténuer la pression des industriels.

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Le commerce de la semaine est assez régulier avec des tarifs qui se stabilisent pour les bonnes prim’holsteins entre 2,85 et 2,95 €/kg, voire 3,00 €/kg pour les livraisons directes dans certains abattoirs. La gamme reste ouverte dans les vaches P avec de gros écarts de valorisation en fonction du poids et de l’état d’engraissement.

 

Les vaches maigres P–1 restent faiblement valorisées de 1,50 à 2,00 €/kg.

 

Les normandes et les montbéliardes convenables se vendent entre 3,13 et 3,28 €/kg. Les prix des meilleures montent à 3,35 €/kg.

 

L’activité commerciale est un peu plus calme pour les races à viande, mais sans modification significative des grilles de cotation des marchés. Les tarifs des génisses se maintiennent, mais ceux des jeunes vaches de qualité bouchère tendent à plafonner.

 

La commercialisation est normale avec des cours stables pour les réformes allaitantes de choix secondaire recherchées pour finaliser les promotions de rentrée. Les bonnes vaches U se négocient entre 3,80 et 4,12 €/kg.

 

Les vaches charolaises R de moins de 10 ans et de plus 400 kg restent valorisées entre 3,60 et 3,74 €/kg en fonction des régions et surtout des abattoirs. Les plus légères se vendent de 3,45 à 3,55 €/kg.

 

Les O sont toujours l’objet d’un tri avec des tarifs compris entre 3,00 et 3,40 €/kg en fonction de leur état d’engraissement.

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